Jean-Claude Gallotta / Josette Baïz – Ulysse

Jean-Claude Gallotta / Josette Baïz

Ulysse

  • 24.01 | 19h30
  • 25.01 | 17h
  • 26.01 | 15h
Durée : 60 min
Tarifs : de 10 à 20€
Public : En famille
Infos pratiques :

le 24.01 bord plateau avec Jean-Claude Gallotta et Josette Baïz, animé par Nathalie Yokel et Emerentienne Dubourg.
À l’occasion du lancement du livre Ulysse de Jean Claude Gallotta par Nathalie Yokel Collection Chefs-d’oeuvre de la danse, dir. Philippe Verrièle, coédition micadanses-Paris / Nouvelles Éditions Scala

Ulysse, créée par Jean-Claude Gallotta en 1981, connaît de nombreux avatars qui tous, à leur façon, contribuent à faire de cette chorégraphie un classique ! Une référence de la Jeune danse française d’alors, et d’aujourd’hui. Car, une nouvelle fois, la version proposée ici par la compagnie Grenade de Josette Baïz, avec des enfants d’une dizaine d’années, met en exergue l’écriture léchée, la gestuelle inventive et l’espièglerie de l’auteur. Une énergie qui ne se démode pas, qui continue à prodiguer ses bienfaits ! Comme souvent le plus sérieux se révèle aussi dans la légèreté, l’allant, la prodigalité. Cette œuvre généreuse contente toujours nos cœurs.

 

Biographie

Formée par Odile Duboc, Josette Baïz enseigne la danse contemporaine depuis 1978 à Aix-en-Provence. En 1982, alors danseuse chez Jean-Claude Gallotta, Josette Baïz remporte le 1er Prix du 14e Concours International de Chorégraphie de Bagnolet ainsi que ceux du Public et du Ministère de la Culture. Elle fonde alors sa première compagnie : LA PLACE BLANCHE, et crée plus de 50 spectacles aussi bien pour ses propres compagnies que pour de nombreux ballets nationaux ou internationaux. En 1989, le Ministère de la Culture lui propose une résidence d’une année dans une école des quartiers nord de Marseille. La confrontation avec des propositions aussi diverses que le break dance, le smurf, le hip hop, la danse orientale, gitane, indienne ou africaine l’ont obligée à revoir entièrement ses acquis corporels et mentaux et l’amène à modifier radicalement sa démarche artistique. Un processus d’échanges s’est alors mis en place : Josette enseignait le contemporain, l’improvisation et la composition dans des ateliers de recherches; les jeunes danseurs lui apprenaient leur façon d’affirmer leurs origines par le mouvement. Naturellement, Josette crée en 1992 le GROUPE GRENADE avec une trentaine de jeunes danseurs. Lorsqu’en 1998, certains de ces enfants danseurs atteignent leur majorité et une véritable maturité artistique, Josette décide de les professionnaliser et fonde autour d’eux la COMPAGNIE GRENADE. En 2014, Josette Baïz est nommée Officier des Arts et des Lettres. En janvier 2024 elle est nommé Chevalier de la Légion d’honneur En cette année olympique, elle est choisie par le COJO pour porter la flamme lors de son passage à Aix-en-Provence

Production

production Groupe et Compagnie Grenade – Josette Baïz.
coproduction Le Carreau du Temple
soutiens L’association Groupe et Compagnie Grenade – Josette Baïz est conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC PACA. Elle est subventionnée par le Conseil Régional, Région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Sous-Préfecture des Bouches-du-Rhône, le Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône, la Métropole Aix-Marseille-Provence, la Ville d’Aix-en-Provence et la Ville de Marseille.
Elle est membre-fondateur de Provence Culture, réseau d’excellence

 

Distribution

chorégraphie Jean-Claude Gallotta
adaptation chorégraphique
Josette Baïz
assitée par Stéphanie Vial, Jeanne Vallauri, Sinath Ouk et Camille Cortez
interprétation 17 interprètes du Groupe Grenade de 8 à 13 ans
Nour Belmekki, Jules Bertolo, Margaux Bourrel, Elena Chevereau, Ella Christophers, Manon Collins, Anatole Derieux, Marius Duseaux-Olive, Lilas Lautrey, Chiara Menard, Issam Ousseini, Antoine Palazzo, Olivia Rothschild, Salomé Rudloff, Maxence Siol, Lise-Marie Sumian, Sandro Villena
musique originale Henry Torgue & Serge Houppin
création costumes Claudine Ginestet
régie générale, adaptation et régie lumière Erwann Collet
régie son Lucas Borg