2023 Christine Armanger / Je vois, venant de la mer, une bête monte

Christine Armanger

Je vois, venant de la mer, une bête monte

  • 15.02 | 20h30
  • 17.02 | 20h30
Durée : 55 min
Tarifs : de 7€ à 24€
Public : Tout public
Infos pratiques :

EN RAISON D’UN MOUVEMENT DE GRÈVE, LA REPRÉSENTATION DU 16 FÉVRIER EST REPORTÉE AU 17 FÉVRIER

Bord plateau avec Christine Armanger le 15/02
Conversation Critique avec Antonella Poli, Delphine Goater, Brigitte Remer et Jean Couturier, membres du collège danse du Syndicat Professionnel de la Critique Théâtre, Musique et Danse le 17/02 à l’issue de la représentation

Entre danse, théâtre et performance, l’Apocalypse selon Saint Jean fait son stand-up

En ces temps d’angoisses et de prédictions catastrophistes voire collapsologistes, Christine Armanger réinterroge un des plus grands récits de fin du monde : L’Apocalypse selon Saint Jean. Bien évidemment, à sa manière. Entre gravité et humour incisif, cette nouvelle création repose sur un déferlement de visions qui traversent le corps d’une seule interprète, elle-même. Comme la collision inattendue entre Jérôme Bosch et Greta Thunberg dans une improbable procession de pénitents andalous… C’est surtout un corps sur scène traversé par le multiple et l’urgence, un lieu de passage et de transmission qui cherche à exprimer l’instant fragile de son être au monde. Une déclaration à la richesse du monde en chacun.


 écouter le podcast de notre partenaire média Tous Danseurs


 

Biographie

Auteure, chorégraphe et performeuse, Christine Armanger a notamment travaillé avec Laurent Bazin, Yves-Noël Genod, Katalin Patkaï, Alex Cecchetti, Majida Khattari ; elle s’est formée auprès de Romeo Castellucci, Jan Fabre, Ambra Senatore, Gisèle Vienne.

Elle fonde la [Compagnie Louve] avec laquelle elle développe son écriture chorégraphique et plastique, sous forme de solos. Elle s’intéresse tout particulièrement au cérémoniel, au double et aux heurts de l’intime en déployant dans ses pièces des climats esthétiques et sensitifs prononcés. Simultanément à son travail scénique, elle a développé de 2010 à 2020 une pratique performative sur les réseaux sociaux sous son avatar : Edmonde. Elle est lauréate 2017 du programme Hors les murs de l’Institut français pour ses recherches sur les hagiographies de saints et de saintes. Entre spectacle vivant et art contemporain, elle a présenté ses pièces et performances la Cité internationale des Arts, au Théâtre de Vanves, à micadanses, à la Loge, au Générateur, au Silencio, à KLAP Maison pour la danse (Marseille), au festival Morpho (Caen), à la Villa Médicis (Rome), au Palais des Paris (Tokyo, Japon) et à la Galerie Thaddaeus Ropac (Pantin) dans le cadre de la 69e édition de Jeune Création.

Christine Armanger a bénéficié du parcours d’accompagnement d’Arcadi Île-de-France. en 2019 et du dispositif AVEC (Arcadi, Théâtre de Vanves, Bureau AlterMachine) en 2019/2020. Elle est artiste accompagnée par Danse Dense.

Production

Production : [Compagnie Louve]
Coproduction : micadanses-Paris, CDC Chorège | Falaise, L’Onde Théâtre Centre d’Art – Scène conventionnée d’intérêt général pour la danse, La Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie, dans le cadre du dispositif accueil-studio
Soutien à la production : CCN de Caen en Normandie – direction Alban Richard, avec le soutien de Danse Dense dans le cadre de l’aide à l’expérimentation
Résidences et soutiens :  CENTQUATRE-Paris, L’Onde Théâtre Centre d’Art – Scène Conventionnée d’Intérêt National – Art et Création pour la Danse, CN D Centre National de la Danse Accueil studio, résidences : micadanses-Paris, le Colombier, La Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie
Avec l’aide à la création chorégraphique de la DRAC Ile-de-France, avec l’aide à la création de la Région Île-de-France
Accompagnement : Danse Dense

 

Distribution

Conception, scénographie, textes, montage son, interprétation : Christine Armanger
Co-conception et collaboration artistique : Laurent Bazin
Lumières : Philippe Gladieux
Design sonore : Cédric Michon
Chargée de production : Camille Boudigues

photo © Salim Santa Lucia